Nombre d’entre nous sommes passés par des situations cocasses ou des épisodes dont on ne se souvient qu’avec beaucoup d’embarras. C’est aussi le cas de nos témoins du jour qui, avec un peu d’humour et beaucoup d’auto-dérision, nous relatent la honte de leur vie !
Une stagiaire modèle
C’est mon premier jour de stage et je me réveille un peu barbouillée. J’essaye de me secouer et vais me préparer. Pas question d’arriver en retard pour la première. Dans le bus ça ne va pas mieux et ça s’empire carrément dans le train ! J’ai des hauts le coeur et je fini par vomir directement sur les chaussures du passagers à mes côtés. Il est furieux mais surtout écoeuré comme le reste des passagers d’ailleurs…tout le monde s’est écarté d’un coup en me toisant et en se bouchant le nez. Je suis bien évidemment descendue à la station suivante, tellement j’avais honte. Finalement arrivée sur mon lieu de stage, je me remets à vomir mais ouf j’ai le temps d’atteindre les toilettes cette fois-ci…J’ai fini par rentrer chez moi… tout ça pour ça ! Nissa, 24 ans
Le sens du rythme
Avec des copines on décide de se faire un ciné. On est pas dans le mood des films d’actions et on opte plutôt pour une comédie musicale . On ne regrette pas notre choix, c’était super. A tel point qu’une fois rentrées chez moi, on s’installe au salon et on mets les chansons du film. On s’est amusées à danser comme des folles, reproduisant les chorés que nous avions vu . Au bout de quelques minutes, lorsqu’une des chansons s’est terminée alors que nous reprenions notre souffle, on a été surprises par des applaudissements… C’était mon grand frère qui était rentré et que nous n’avions pas entendu tellement nous étions à fond dans notre délire ! Aïssatou, 20 ans
Coup de chaud
J’ai pris quelques jours de vacances pendant les beaux jours, direction Paris. Je profite de la capitale, me promène et je craque même pour une glace, histoire de me rafraichir un peu. Sur le chemin de ma balade, une personne m’interpelle en me disant « elle est bonne la glace hein » je répond naïvement « oui, oui » avec un grand sourire. Quelques mètres plus loin, un passant me fait plus ou moins la même remarque et d’autres personnes me regardent avec insistance… Je m’observe dans la vitrine d’une boutique et me rends compte que j’ai de la glace sur tout mon t-shirt ! En fait, le cornet s’était percé par le bas et je n’avais rien remarqué. Maïssara, 32 ans
Laissez votre message après le bip
J’ai un rire plutôt sonore et assez original. J’étais chez moi avec mes filles qui s’amusaient à me chatouiller. Je riais à gorge déployé depuis plusieurs minutes quand j’ai remarqué que l’écran de mon téléphone était éclairé. Je vérifie donc et là…gros coup de stress. L’une d’entre nous a dû toucher le téléphone sans s’en rendre compte et appeler la RH de mon futur job. Dans ma panique, j’ai raccroché directement et rappelé. C’était la messagerie, congés d’été oblige… Elle aura la surprise d’entendre mon rire de compétition à son retour de vacances et à ma prise de poste… Inès, 31 ans
Chass(eur) d’appart’
En prévision de l’état des lieux sortant de mon appartement, je passe tout au peigne fin. Je voulais que tout soit nickel avant l’arrivée du propriétaire, histoire de récupérer ma caution et de m’en aller en bons termes. Une fois que j’ai tout vérifié, je fais les 100 pas en attentant le proprio et le stress commence à monter crescendo au point de me faire mal au ventre ! Vite je file aux toilettes et j’ai a peine terminé que ça sonne à la porte ! Je me dépêche et effectue mon état des lieux. Ouf ! Tout se passe bien jusqu’à ce qu’on inspecte les toilettes… Dans la précipitation, j’ai oublié de tirer la chasse…la honte !! Daoud, 25 ans
Vive les mariés !
Je suis au mariage d’une copine et la soirée touche à sa fin. C’est donc l’heure du fameux lancé de bouquet. Je joue le jeu et me met en position pour avoir une chance de l’attraper. Et là c’est le drame ! Je glisse puis trébuche et si ce n’eût été les bons réflexes de ma meilleure amie, je serai tombé comme une crêpe. Bien entendu je n’ai pas attrapé le bouquet mais le pire est que j’étais placé pile dans la ligne de mire du caméraman du mariage… ma maladresse a donc été immortalisée à mon grand désespoir. Inutile de dire que je suis allé m’asseoir manu militari avec un sourire crispé et gêné. Désormais c’est décidé, copine ou pas, s’il y a un lancé de bouquet je fais acte de présence mais je ne tenterai plus de l’attraper, ça c’est sûr ! Ania, 30 ans